FEDER Projets finis - 2014-2020

ARCHIVES PROJETS FINIS - Programmation 2014-2020

feder14RN

L’EUROPE ET LA RÉGION NORMANDIE ONT PARTICIPÉ À LA REALISATION DES PROJETS SUIVANTS :

 

Projet ACERIN/ATOMOMEX : 

Responsable scientifique pour le GPM : Benoît VIEILLE.

Bénéficiaire : INSA ROUEN NORMANDIE.

Dates de début et fin de projet : du 01/07/2022 au 30/06/2023.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER).

Numéro de convention : 00127301 - 22E03527.

Budget : Coût total du projet ACERIN : 4 740 525.61 € HT dont 365 000 € HT pour le projet ACERIN/ATOMOMEX du GPM.

365 000 euros.

Description du projet :

 La tomographie haute résolution par Rayons X (microCT - micro Computed Tomography) est un outil d'étude de la microstructure interne des matériaux en 3D (polymères, composites, métaux). Elle se différencie pleinement des moyens d'analyse microstructurale présents dans le parc instrumental du Groupe de Physique des Matériaux : les caractérisations sont effectuées dans les 3 dimensions de l'espace, sans pré-traitement de l'échantillon et sans aucune destruction.

L'utilisation de la tomographie prend tout son sens dans toutes les situations physiques où une présence de porosités au coeur de la matière -et donc non visible de l'extérieur- peut affecter les propriétés de cette matière : à partir de la représentation réelle en 3D des porosités, une analyse objective et sans aucun biais peut être menée sur les relations qui existent entre un procédé de fabrication et les propriétés de la pièce produite, ou encore entre une sollicitation physique, ses conséquences sur la santé matière, et ses propriétés physiques.

Le principal objectif concerne donc l'étude de l'état microstructural des matériaux qui peut être connu avant une analyse mécanique ou thermique sans que le moyen de mesure n'affecte les propriétés du matériau étudié.

Le second objectif repose sur les capacités de l'équipement visé, lequel est muni d'un générateur de RX de 150kV. Ainsi, on peut envisager d'analyser des matériaux denses tels que les métaux, mais également réaliser des essais mécaniques in situ afin de suivre en temps réel les mécanismes d'endommagement (chronologie, interactions, cinétique). 

Personnels impliqués dans le projet :

B. Vieille, F. Barbe

Partenaires impliqués dans le projet :

INSA ROUEN NORMANDIE (laboratoires GPM/CORIA/COBRA/LMN/LSPC)

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Projet AEROFLAMME : Comportement de composites AEROnautiques sous FLAMme et chargement MEcanique.

Responsable scientifique pour le GPM : Benoît VIEILLE.

Bénéficiaire : INSA ROUEN NORMANDIE.

Dates de début et fin de projet : du 01/09/2018 au 31/05/2021.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 18P02370 / 18E01642 / 18P02368.

Budget : 164 500 FEDER/164 500 REGION.

329 000 euros.

Description du projet :

 L’objectif majeur du projet AEROFLAMME est de permettre aux industriels de l’aéronautique de comprendre/prédire la réponse thermomécanique de matériaux composites et, in fine de leurs pièces et assemblages dans des conditions en service critiques.

 Le caractère multidisciplinaire du projet (combustion, mécanique et chimie des matériaux) permettra de mettre à profit et de mutualiser les équipements de recherche du CORIA, du GPM et du LCMT autour d’une problématique commune, le comportement au feu de matériaux aéronautiques.

Le développement d’une plateforme d’essais unique en son genre et innovante favorisera l’émergence d’une thématique nouvelle à l’échelle régionale et nationale. Le risque identifié est minime car ce banc repose sur des évolutions et l’intégration de dispositifs actuels existant au sein des deux laboratoires partenaires. La principale difficulté réside dans l’adaptation / l’interaction de ces moyens pour valider le caractère opérationnel du banc d’essai avec éventuellement le dépôt d’un brevet. On cherchera également à développer une technique de mesure laser par thermo-phosphorescence qui permet de mesurer la température sur la face arrière du matériau agressé.

Personnels impliqués dans le projet :

B. Vieille, N. Delpouve, A. Alia (CDD), A. Bourdet (CDD) – GPM.

A. Chaudray (CDD), A. Coppalle – CORIA.

B. Rijal (CDD), L. Le Pluart – LCMT.

Partenaires impliqués dans le projet :

INSA ROUEN NORMANDIE (laboratoires GPM/CORIA), UNICAEN (laboratoire LCMT).

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Projet BRIDGE : Plateforme transversale de recherche entre les Bandes optiques et Radioélectriques : Intégrité du signal et de la puissance/ Détection et détecteurs/Génération Electromagnétique ultra-brève et intense.

Responsable scientifique pour le GPM : François VURPILLOT.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2016 au 01/03/2020 (FEDER).

Du 01/09/2016 au 30/09/2019 (REGION).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0005622/GRR ELECTRONIQUE BRIDGE 2016.

Budget : 259 642,06 euros FEDER/166 923 euros REGION.

426 565,06 euros.

Description du projet :

L’opération vise à rassembler les compétences complémentaires de plusieurs acteurs du grand réseau de recherche EEM (GPM/CORIA/IRSEEM) pour la recherche en instrumentation et en électronique dans un domaine de fréquence électromagnétique peu exploré, la gamme THz, de la génération à l’impact de ce rayonnement sur des matériaux ou des dispositifs de la microélectronique (émetteurs quantiques).

L’IRSEEM souhaite développer de nouveaux outils de simulation de la propagation et de prédiction des compatibilités EM pour les fréquences élevées. La recherche vers les très hautes fréquences (GHz à THz) de manière à optimiser l’intégrité des impulsions courte et intense générées.

Le GPM souhaite étudier l’impact et l’utilisation de rayonnement THz dans ces activités de développement instrumental et théorique de la sonde atomique. En particulier l’impact des rayonnements THz sur des matériaux pour lesquels la sonde atomique trouve ses limites sera exploré. Deux types de rayonnements seront utilisés, des rayonnements issus des sources fournies par le CORIA (génération optique), et des impulsions électriques ultrabrèves (ps) propagées vers l’échantillon dans l’enceinte du banc de test existant au laboratoire. La transmission intègre des impulsions vers l’échantillon sera optimisée grâce à la collaboration avec l’IRSEEM et le CORIA issue du projet.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Normand, A. Vella, B. Deconihout, E. Joubert, F. Vurpillot, G. Da Costa, I. Blum, J. Houard, L. Rigutti, W. Lefebvre, O. Latry, P. Dherbécourt – GPM.

A. Hideur, C. Rozé, T. Godin, Saïd Idlahcen, A. Ayoub (doctorant) – CORIA.

B. Ravelo, H. Boulzazen, M. Kadi – IRSEEM.

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM/CORIA), ESIGELEC (laboratoire IRSEEM).

 

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Projet CATHY: Influence de la Fraction Amorphe Rigide sur les propriétés Mécaniques et physiques des polymères semi-cristallins : contexte aéronautique.

Responsable scientifique pour le GPM : Xavier SAUVAGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/06/2019 au 31/05/2022.

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER via la Région Normandie) et le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation à travers le Contrat de Plan Interrégional Etat-Régions (CPIER).

Numéro de convention : 19P01951/2019-CPIER CATHY.

Budget : 400 000 euros FEDER/400 000 euros CPIER.

800 000 euros.

Description du projet :

La Région Normandie a lancé son plan « Normandie Hydrogène » (septembre 2018) avec pour objectifs principaux de contribuer au développement du mix énergétique, de réduire le bilan carbone régional et les émissions de gaz à effet de serre. Dans cet esprit, le projet Cathy vise à étendre les domaines d’investigation de la plateforme GENESIS en développant les moyens d’analyse dédiés notamment à la catalyse, le stockage de l’hydrogène sous forme solide par la formation d’hydrures stables mais aussi la fragilisation des matériaux par l’hydrogène nécessaires à ces développements. Un effort particulier est mis sur la caractérisation in-situ des réactions, c’est-à-dire leur suivi par imagerie en temps réel. Pour atteindre ces objectifs, un porte-objet de toute dernière génération a été acquis afin de confiner les échantillons dans un environnement clos et maîtrisé à l’intérieur du microscope électronique à transmission à haute résolution de la plateforme GENESIS. Ce porte objet est associé à un système d’alimentation en gaz et de contrôle de température, ainsi qu’à un spectromètre permettant l’analyse des produits de réaction en temps réel. Afin de suivre les réactions avec une résolution temporelle adaptée, jusqu’à cent images par seconde, une caméra ultra-rapide de toute dernière génération a également été intégrée le microscope. Et enfin, un dispositif de préparation des échantillons par faisceau d’ions focalisé vient compléter l’ensemble. Grâce à ces nouveaux équipements, de nouveaux travaux scientifiques vont porter sur : l’étude des mécanismes de formation des hydrures dans les matériaux développés pour le stockage de l’hydrogène sous forme solide ; l’étude in-situ des réactions catalytiques à l’échelle atomique notamment dans le domaine des zéolites ; l’étude in-situ des défauts cristallins et de leur interaction avec l’hydrogène, en particulier pour comprendre les mécanismes de fragilisation induits par H2.

Personnels impliqués dans le projet :

Personnels impliqués dans la plateforme GENESIS.

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Projet CATHY-2 :  Catalyse et Hydrogène, observation in-situ à l’échelle atomique des réactions-2. 

Responsable scientifique pour le GPM : Lorenzo RIGUTTI

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/09/2020 au 31/12/2022.

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER via la Région Normandie) et le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation à travers le Contrat de Plan Etat Régions (CPER) et le Contrat de Plan Interrégional Etat-Régions (CPIER).

Numéro de convention : 20E02318/172-2020-13/2020-CPIER CATHY-2.

Budget : 352 500 euros FEDER/52 500 euros CPER/300 000 euros CPIER.

705 000 euros.

Description du projet :

Le projet CATHY-2 vise à équiper la plateforme GENESIS de technologies complémentaires de la microscopie électronique à transmission à haute résolution « in-situ » dans un environnement gazeux contrôlé en température. L’implémentation d’un nouveau système de détection, incluant la mesure de la photoluminescence émise par l’échantillon, et d’un laser permettant une évaporation contrôlée sur la sonde atomique tomographique pour la problématique « hydrogène » représente une innovation majeure dans le domaine. Cette opération renforcera donc encore le leadership mondial du GPM sur le développement de la technique.

Cet ensemble constituera la plateforme GENESIS de demain avec des capacités au premier plan international et unique en Europe. L’intégration et la complémentarité de ces moyens d’investigation à l’échelle atomique sont un caractère innovant fort, permettant de placer la Normandie en position de leader mondial dans le domaine de la microscopie corrélative et microscopie in situ.

Ces investissements sur la plateforme GENESIS permettront ainsi de réaliser des expériences au tout premier plan mondial, et pour certaines absolument uniques (sonde atomique notamment). D’un point de vue scientifique, les avancées attendues sont une compréhension fine des mécanismes contrôlant la diffusion de l’hydrogène, mais aussi le piégeage par les défauts cristallins, points clés pour le développement de nouveaux matériaux moins sensibles à la fragilisation. Par ailleurs, l’observation à l’échelle nanométrique des réactions avec l’hydrogène dans les matériaux candidats au stockage sous forme solide, devrait permettre de repenser leur conception qui est aujourd’hui basée principalement sur des considérations thermodynamiques négligeant de nombreux aspects cinétiques liés à la diffusion et à la mobilité des interfaces.

 Personnels impliqués dans le projet :

J. Houard, L. Rigutti, S. Moldovan, X. Sauvage.

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Projet CellSTEM : Exploration des ultrastructures cardiovasculaires et pulmonaires par des approches d’imagerie chimique en Microscopie Electronique en Transmission

Responsable scientifique pour le GPM : Philippe PAREIGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2018 au 01/01/2022 .

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 18P02425/18E011671/18P02424.

Budget : 378 000 euros FEDER/378 000 euros REGION.

756 000 euros.

Description du projet :

Le projet CellSTEM est un projet interdisciplinaire qui fédère les Physiciens, Médecins et Toxicologues autour de problématiques sociétales fortes. Les maladies cardio-pulmonaires représentent une des causes principales de mortalité dans le monde, exacerbées par des facteurs environnementaux tels que la pollution atmosphérique. Le projet CellSTEM propose la mise en œuvre d’Imagerie Chimique en Microscopie Electronique en Transmission, à travers les modes d’imagerie filtrée et de spectroscopies, associés aux modes d’imagerie conventionnelle, pour l’études de pathologies cardio-pulmonaires. L’apport de la microscopie électronique en transmission est un atout fort et complémentaire aux approches biologiques et fonctionnelles. Les champs applicatifs adressés dans ce projet concernent l’exploration :

  • du Cil Endothélial et du Glycocalyx, deux composants fondamentaux de la cellule endothéliale, en conditions normales et pathologiques
  • du tissu cardiaque i) en post infarctus dans la mise en place de l’œdème cellulaire ii) en post stress-environnemental induisant une hypertension artérielle
  • de modèles de co-cultures cellulaires exposés à des aérosols particulaires de combustion.

 Personnels impliqués dans le projet :

C. Castro, L. Chevalier, P. Pareige, Y. Ramdani (CDD) – GPM.

D. Groussard, E. Brakenmelm, F. Tauio, J. Bellien, J. Selim, V. Richard, Y. Benhamon – ENVI.

C. Monteil – ABTE.

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM/EnVI/ABTE-ToxEMAC).

 

 

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Projet CLIP FAM : Caractérisation du lit de poudre en fabrication additive métallique.

Responsable scientifique pour le GPM : Clément KELLER.

Bénéficiaire : INSA Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/10/2018 au 30/09/2022.

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 18P03464.

Budget : 183 880 euros FEDER/275 820 euros REGION.

459 700 euros.

Description du projet :

Contrairement à la fabrication de pièces par enlèvement de matière, la fabrication additive métallique permet de réaliser des formes complexes avec des séries flexibles. On estime aujourd’hui une croissance mondiale du marché relatif à cette technologie récente d’environ 20 % annuel. Les propriétés fonctionnelles des alliages métalliques obtenus en fabrication additive sont fortement dépendantes des paramètres généraux du procédé à travers la microstructure du matériau élaboré. Ainsi, la présence de porosités, d'une texture cristallographique ou morphologique, la présence de zones de matière non fondue, les contraintes résiduelles issues des gradients thermiques sont autant de facteurs pouvant nuire aux propriétés mécaniques des pièces obtenues en FA comparativement à une élaboration classique par coulée.

Ces différents défauts sont en partie liée aux caractéristiques de la poudre utilisée lors de la fabrication. A l’heure actuelle, la caractérisation de la poudre n’est pas représentative de la réalité du procédé et relativement coûteuse. Le développement d’un outil de caractérisation réaliste et simple de qualification des poudres en fabrication additive métallique permettrait de garantir une production optimale et une réduction des coûts.

Le GPM participe en ce sens au projet CLIP FAM (Caractérisation du Lit de Poudre pour la Fabrication Additive Métallique) financé par la région Normandie et l’Union Européenne. Ce projet s’articule autour d’un consortium Normand de laboratoires académiques ainsi que de partenaires académiques. De faible maturité (TRL4), CLIP FAM permettra une meilleure compréhension du rôle joué par les caractéristiques du lit de poudre sur les propriétés générales de pièces métalliques obtenue en fabrication additive.

Personnels impliqués dans le projet :

C. Keller, E. Paccou (CDD), H. Briatta (stagiaire), J. Nguejio (CDD), M. Mokhtari (CDD), M. Petit (stagiaire), W. Lefebvre, X. Sauvage – GPM.

E. Souza, L. Khalij – LMN.

Partenaires impliqués dans le projet :

Analyses et Surface, ArianeGroup (coordinateur), CEVAA, CRISMAT, NAE, Volum-e, INSA ROUEN NORMANDIE (laboratoires GPM/LMN).

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Projet CRIOS : Solution de refroidisseur miniature pour Composants.

Responsables scientifiques pour le GPM : Benoit Lefez (URN)/Alain Guillet (INSA).

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie/INSA Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/04/2016 au 30/09/2018 (FEDER-URN).

Du 01/02/2016 au 30/09/2018 (REGION-URN).

 

Du 01/04/2016 au 30/09/2018 (FDER-INSA).

Du 01/04/2016 au 30/09/2018 (REGION-INSA).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN004620/00088140-21E1160 (URN).

HN0004575/NC (INSA)

Budget : 50 216 euros FEDER/41 086 euros REGION.

91 302 euros (URN).

73 043,99 euros FEDER/67 235 euros REGION.

141 178,99 euros (INSA).

Description du projet :

Dans le domaine aéronautique, la tendance vers des systèmes de plus en plus électrifiés se confirme.

Développer une chaîne énergétique embarquée 100% électrique est un enjeu majeur qui permettrait une fiabilité accrue, un moindre impact environnemental ainsi que des coûts de production et de maintenance significativement réduits.

Cependant cette évolution vers du « plus électrique » s’accompagne de deux difficultés. D’une part, l’augmentation forte de la puissance des systèmes électriques embarqués, produit un accroissement important de la température de ces systèmes. D’autre part les contraintes de l’environnement aéronautique sont de plus en plus sévères. Par conséquent, les équipementiers produisant des systèmes embarqués vont devoir disposer de solutions électroniques fiables répondant à de nouveaux challenges technologiques.

L’objet du projet CRIOS est de développer une solution de refroidissement utilisant des matériaux à changement de phase (MCP), dans des systèmes embarqués soumis à des contraintes d’environnement sévères.

Le développement de cette nouvelle solution de refroidissement permettrait d’optimiser le comportement thermique d’un système électronique lors d’appels de puissance transitoires importants.

Personnels impliqués dans le projet

B. Lefez, T. Davin (CDD) – GPM URN.

A. Guillet – GPM INSA.

A. El Hami – LMN INSA (anciennement LOFIMS).

T. Ait-Younes – CEEVA et Analyses & Surfaces.

E. Rouland – Areelis Technologies.

Partenaires impliqués dans le projet :

AREELIS Technologies (coordinateur E. Rouland), CEEVAA et Analyses et Surfaces, Université de Rouen Normandie (laboratoire GPM) et INSA Rouen Normandie (laboratoires GPM/LMN).

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Projet DYNAMITE : DYNAmique Moléculaire sous champ électrique et contraintes InTEnse.

Responsable scientifique pour le GPM : François VURPILLOT.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/11/2016 au 31/07/2019 (FEDER).

Du 01/11/2016 au 31/12/2019 (LABEX).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) via la Région Normandie et le Label d’Excellence « Energy Materials and Clean Combustion Center » (LABEX EMC3).

Numéro de convention : 17P04845/HN0009669/NC (LABEX).

Budget : 108 951,10 euros FEDER/85 000 euros LABEX.

193 951,10 euros.

Description du projet :

Nous proposons dans ce projet d’étudier et de comprendre les artefacts d’imagerie observés lors de l’analyse corrélée FIM/SAT des aciers et alliages du nucléaire. Pour cela un nouveau champ disciplinaire en modélisation sera abordé par le projet, la dynamique moléculaire sous contrainte et champ intense. En particulier le modèle donnera les limites expérimentales sur notre capacité à imager en 3D les défauts induits par l’irradiation, et nous donnera des pistes pour optimiser le fonctionnement des 2 instruments. Le nouveau modèle est théoriquement extrêmement porteur et innovant, et potentiellement, il pourra être utilisé dans d’autres domaines.

Personnels impliqués dans le projet :

I. Blum, J. Houard, S. Parviainen (CDD), F. Vurpillot.

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Projet EMOCAVI : Evolution des MOdèles des Composants de puissance grand gAp au cours du Vieillissement.

Responsable scientifique pour le GPM : Pascal DHERBÉCOURT.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2015 au 28/02/2020 (FEDER).

Du 01/11/2015 au 30/09/2018 (REGION).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0002074/FB/VJ/N°D14-16679.

Budget : 146 712,02 euros FEDER/86 538 euros REGION.

278 250,02 euros.

Description du projet :

Le projet EMOCAVI est un projet collaboratif entre deux laboratoires IRSEEM de l’ESIGELEC et le GPM de l’Université de Rouen Normandie, situés sur le Technopôle du Madrillet.

Le projet s’inscrit dans la thématique « Fiabilité des systèmes et composants dans les systèmes embarqués » du domaine mature de spécialisation intelligente de la SRI-SI et également dans les thématiques de recherche du Grand Réseau de Recherche-Electronique, Energie, Matériaux (EEM), réseau électronique.

L’objectif central du projet est l’étude du vieillissement des composants de puissance pour la mécatronique, en particulier pour ce qui concerne le GPM, le suivi des paramètres des modèles électriques tenant compte du vieillissement pour les transistors de puissance de nouvelles technologies à base de matériaux semi-conducteurs « grand gap ».

Ce projet permettra au consortium « Fisycom » (Fiabilité des Systèmes et Composants électroniques), dont les deux acteurs IRSEEM et GPM sont membres, de proposer de nouvelles briques technologiques à ses partenaires.

Personnels impliqués dans le projet :

E. Joubert, F. Cuvilly, O. Latry, P. Dherbécourt, T. Neveu (stagiaire).

Partenaires impliqués dans le projet :

ESIGELEC (laboratoire IRSEEM, coordinateur M. Kadi), Université de Rouen Normandie (laboratoire GPM).

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Projet FARM : Influence de la Fraction Amorphe Rigide sur les propriétés Mécaniques et physiques des polymères semi-cristallins : contexte aéronautique.

Responsable scientifique pour le GPM : Laurent DELBREILH (URN)/Benoit VIEILLE (INSA).

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie/ INSA Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/07/2017 au 30/09/2019.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 17P04162/17E01501/17P04161 (URN).

17E01534 (INSA).

Budget : 92 150 euros FEDER/92 150 euros REGION.

184 300 euros (URN).

36 890 euros REGION.

36 890 euros (INSA).

Description du projet :

Actuellement, un des enjeux majeurs du secteur aéronautique est la réduction du poids des avions. Ceci est notamment possible grâce au remplacement de pièces métalliques par des pièces en composites. Les composites à matrice thermodurcissable ont été majoritairement utilisés dans l’industrie aéronautique depuis plus de 40 ans. Cependant les inconvénients inhérents à l’utilisation de ces matériaux orientent les industriels vers des composites à matrice thermoplastique comme le polysulfure de phénylène (PPS). Bien que ces matériaux soient, à poids égal, mécaniquement plus intéressants que les alliages métalliques (exemple en traction), ils résistent cependant mal aux impacts. Il est donc essentiel d’améliorer leur résistance aux dommages. Classiquement un thermoplastique semi cristallin peut être décrit par un modèle à deux phases avec une fraction amorphe et une fraction cristalline. Cependant cette description ne semble pas permettre d’expliquer le comportement mécanique des semi cristallins. Dans les années 80, Wunderlich et Menczel ont proposé de décrire les semi cristallins par un modèle à trois phases. Cette description intègre le fait qu’une partie de la phase amorphe ne relaxe pas à la transition vitreuse. Elle est donc nommée fraction amorphe rigide (RAF) en opposition à la fraction amorphe mobile (MAF). L’influence de la RAF sur les propriétés mécaniques de semi cristallins a déjà été montrée. Ce travail consiste donc à étudier l’influence de la RAF sur les propriétés mécaniques du PPS pur et d’un composite carbone/PPS.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Esposito, E. Ernault (CDD), L. Delbreilh, N. Delpouve – GPM URN.

B. Vieille, E. Ernault (CDD) – GPM INSA.

L. Le Pluart, Y S. Salim – LCMT.

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoire GPM, coordinateur), INSA Rouen Normandie (laboratoire GPM), ENSICAEN (laboratoire LCMT).

 

 

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Projet GENESIS + :  Mise à niveau de la sonde atomique de la plateforme GENESIS pour l’analyse des matériaux radioactifs.

Responsable scientifique pour le GPM : Cristelle PAREIGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/09/2021 au 31/12/2022. 

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER via la Région Normandie).

Numéro de convention : 21E03574.

Budget : 1 784 268 euros FEDER

1 784 268 euros.

Description du projet :

Le projet GENESIS + consiste à faire évoluer la LEAP 4000 X HR acquis dans le cadre de l’EQUIPEX GENESIS en LEAP 5000 X HR.

La LEAP 5000 X HR permet d’étudier et comprendre les mécanismes à l’origine du vieillissement des matériaux du nucléaire tels que la fragilisation des matériaux de structure (aciers de cuves ou du circuit primaire de refroidissement par exemple) ou les phénomènes contribuant à la rupture de certains composants des structures internes des réacteurs par corrosion sous contrainte assistée par m’irradiation.

Personnels impliqués dans le projet : 

A. Etienne, C. Pareige, G. Da Costa, I. Blum, P. Pareige, X. Sauvage.

 

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Projet HAITY : Source THz monocycliques de haute cadence pour la microscopie 4D et spectroscopie.

Responsable scientifique pour le GPM : Angela VELLA.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : du 01/12/2020 au 30/11/2022. 

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER via la Région Normandie).

Numéro de convention : 20E02190.

Budget : 495 000 euros FEDER

495 000 euros.

Description du projet :

La technologie Terahertz s'est considérablement développée au cours des trois dernières décennies et cette croissance a été rendue possible notamment grâce au développement de nouvelles sources THz pilotées par des lasers ultra-rapides [1]. Ces sources complexes sont très intéressantes pour la recherche fondamentale mais elles sont moins adaptées à une utilisation en dehors d'un environnement de laboratoire. Le premier objectif de ce projet concernera le développement de nouvelles voies pour la production d'impulsions THz intenses à des taux de répétition élevés dans des environnements compacts. Notre approche consiste à combiner une technologie laser ultra-rapide à base de fibres avec des dispositifs de compression non linéaires sophistiqués pour répondre aux exigences d'une génération THz efficace dans les cristaux organiques.

De plus, nous avons récemment démontré que l'exploitation d'impulsions ultra-courtes THz de haute intensité avec une amplitude de quelques 100 kV / cm permet l’analyse en sonde atomique tomographique (APT) de matériaux métalliques de forme nanométrique Le deuxième objectif de ce projetconcernera l'étude de la physique de l'interaction des impulsions THz intenses avec différents matériaux dans le cadre de l'APT. Ce travail sera basé sur la source THz à faible taux de répétition développée récemment au GPM en utilisant une configuration de plasma dans l’air bicolore. Cette tâche visera l'optimisation et la mise en forme des impulsions THz pour l'émission de champ d'ions afin de fournir des spécifications à atteindre lors d développement de la source THz à taux de répétition élevés.

 Personnels impliqués dans le projet : 

  1. Vella, J. Houard, G. Damarla (CDD) – GPM.

 

  1. Hideur, R. Becheker (CDD) – CORIA.

Partenaires impliqués dans le projet :

CNRS (laboratoires GPM/CORIA).

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Projet IFROST : Techniques d’Imagerie aux Frontières Spatiales et Temporelles.

Responsable scientifique pour le GPM : Lorenzo RIGUTTI.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/09/2019 au 30/09/2021.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 19E00873/19P03193.

Budget : 134 500 euros FEDER/134 500 euros REGION.

269 000 euros.

Description du projet :

L’objectif global du projet est de repousser les limites de résolution spatiale et temporelle de techniques d’imagerie complémentaires, à savoir la microscopie de photoluminescence couplée à la Sonde Atomique Tomographique, l’imagerie par Transformée de Fourier Dispersive et l’Imagerie Rafale Ultrarapide. Il s’agit également d’élargir les domaines d’application des techniques de suivi en temps réel récemment développées au CORIA et au GPM. Un des objectifs particuliers de ce projet est le développement d'une méthode originale pour la caractérisation d'émetteurs quantiques à l'échelle nanométrique. Nous proposons, d'une part, de mettre en œuvre une approche multi-microscopique et spectroscopique ex situ, et d'autre part, d'utiliser une nouvelle configuration expérimentale développée au GPM qui couple un banc de SAT et la spectroscopie de micro-photoluminescence (μPL) in situ. L'objectif est d'obtenir à la fois une image tridimensionnelle, résolue en termes de composition, avec une résolution spatiale sub-nanométrique, avec une sensibilité de quelques atomes (jusqu’à l’atome unique), ainsi que le spectre d'émission du même nano-objet. La pré-caractérisation des systèmes de matériaux choisis pour ce projet, la préparation des échantillons sous la forme de pointe à l’apex nanométrique et les protocoles d’analyse seront développés spécifiquement pour l'isolation et la préservation du seul nano-émetteur dans une pointe. Concernant la partie CORIA, il s’agira d’implémenter deux techniques d’imagerie ultra-rapides possédant des résolutions temporelles proches des limites accessibles actuellement pour permettre la caractérisation complète des phénomènes susmentionnés. L’objectif sera de démontrer que ces techniques, dont la preuve de principe a été obtenue très récemment au laboratoire, peuvent apporter de nouvelles informations quantitatives en s’adaptant sur le banc de SAT. Cette adaptation représente un réel défi, notamment au regard du changement de longueur d’onde envisagé, mais aussi une réelle valeur ajoutée, ce type de diagnostic n’ayant à notre connaissance jamais été réalisé dans ces conditions expérimentales. C’est à ces challenges que se propose de répondre le projet IFROST. Les efforts conjoints du GPM et du CORIA porteront enfin sur l’étude des mécanismes de rupture des pointes nanométriques sous champ intense.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Vella, E. Di Russo (CDD), J. Houard, F. Vurpillot, L. Rigutti – GPM.

A. Hideur, R. Becheker (CDD), T. Godin – CORIA.

Partenaires impliqués dans le projet :

CNRS (laboratoires GPM/CORIA).

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Projet IMUST: Instrumentation for Metrology using Ultrafast Science Technology.

Responsable scientifique pour le GPM : Angela VELLA.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/01/2016 au 30/06/2019 (FEDER).

Du 01/10/2015 au 31/10/2018 (REGION). 

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), la Région Normandie et l’Agence Nationale de la Recherche.

Numéro de convention : HN002303/NC (REGION) 

Budget : 758 655,18 euros FEDER, 115 430 euros (REGION), 167 748 euros (ANR)

1 041 833,18 euros.

Description du projet :

Le projet Instrumentation for Metrology using Ultrafast Science Technology (IMUST) vise à créer un centre d’expertise de niveau international sur l’utilisation des sources laser ultrarapides pour l’instrumentation scientifique avancée dans le domaine de l’électronique, des matériaux de l’énergie. Il s’appuie sur le socle commun construit par les laboratoires CORIA (Complexe de Recherche Interprofessionnel et Aérothermochimie) et le GPM (Groupe de Physique des Matériaux) depuis 2003 à travers la plateforme commune MIST (Microélectrique, Instrumentation, Scientifique du Technopôle), dont le résultat a été l’émergence d’une nouvelle thématique de recherche liée au développement et à l’exploitation des lasers à impulsions ultracourtes pour l’étude des matériaux.

Ce projet s’appuie sur les compétences acquises dans le cadre de cette plateforme pour développer des systèmes innovants de lasers Ultrarapides émettant dans l’infrarouge et la THz (terahertz). Il concerne la mise en place d’une plateforme de spectroscopie ultrarapide à photons de basses énergies (d’IR au THz) pour l’étude des nanomatériaux dans le domaine de l’électronique rapide.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Vella, B. Deconihout, I. Blum, J. Houard, L. Arnoldi (CDD), L. Rigutti – GPM.

A. Hideur, A. Poux, C. Gobin, C. Rozé, D. Lisiecki, T. Godin, A. Tyazhev (CDD) – CORIA).

Personnels impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM/CORIA).

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Projet LAETICIA : Ligne d’Accélérateur d’Electrons pour le Traitement et l’Investigation en Conditions d’Irradiation Adaptée portant sur le phénomène d’irradiations des matériaux.

Responsable scientifique pour le GPM : Philippe PAREIGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/10/2018 au 30/09/2021.

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), la Région Normandie.

Numéro de convention : 18P02052.

Budget : 162 000 euros (FEDER), 243 000 euros (REGION).

 405 000 euros.

Description du projet :

Le projet vise à développer un moyen innovant d'irradiation aux électrons sous température contrôlée afin d'étudier l’évolution sous irradiation d’alliages d’intérêt industriel. La possibilité d’irradier ces matériaux avec des électrons complétera avantageusement les études en cours sur des matériaux irradiés aux neutrons ou aux ions. Les microstructures d’irradiation seront étudiées aux échelles appropriées au moyen de la plateforme GENESIS du Groupe de Physique des Matériaux (microscopie électronique et sonde atomique). Les résultats expérimentaux seront interprétés à l’aide de simulations numériques aux mêmes échelles (simulation Monte-Carlo) grâce au soutien apporté par EDF. Les caractérisations expérimentales couplées à la modélisation permettront d’une part de valider l’efficience du dispositif d’irradiation et d’autre part de comprendre les mécanismes à l’origine de l’évolution des microstructures sous irradiation.

Personnels impliqués dans le projet :

A. ETIENNE, C. Pareige, B. Radiguet, P. Pareige, M. Labrskyi (CDD), A. Medvedev (CDD).

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoire GPM, coordinateur), EDF R&D.

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Projet LUMIERE : Exaltation de la luminescence d’ions de terre rare pour le photovoltaïque.

Responsable scientifique pour le GPM : Etienne TALBOT.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : 

Du 08/01/2018 au 07/01/2020.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 17P04197/17E01468/17P03991.

Budget : 190 227,50 euros FEDER/190 227,50 euros REGION.

380 455 euros.

Description du projet :

L’objectif principal de ce projet est d’optimiser les propriétés de luminescences des ions de terres-rares dans des matrices d’oxyde ou de nitrure pour des applications photovoltaïques. Ces propriétés résultent directement de la distance entre les ions qui doit être optimale. Ainsi, l’enjeu est double, à savoir incorporer la plus grande quantité de dopants tout en maitrisant la microstructure à l’échelle nanométrique de la couche afin d’éviter la formation d’éventuelles phases secondaires ou de précipités qui seraient négatifs par rapport à l’objectif fixé.

Les principaux résultats attendus sont : 1) déterminer les paramètres de croissance conduisant aux meilleures propriétés optiques pour l’application considérée, 2) déterminer la concentration maximum de dopants admissible avant la formation de phases secondaires ou de précipités ainsi que l’évolution de la distance entre ions de terre-rare,3) corréler la nanostructure et les propriétés optiques ainsi que leurs évolutions conjointes en fonction des paramètres d’élaboration, 4) élaborer une méthodologie de microscopie corrélative afin d’identifier la nature des émetteurs optiques.

Personnels impliqués dans le projet :

E. Cadel, E. Talbot, L. Rigutti, N. Alhelou (CDD).

Personnels impliqués dans le projet :

CNRS (laboratoires GPM/CIMAP).

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Projet MACHI: Matériaux et ChIralité.

Responsable scientifique pour le GPM : Allisson SAITER-FOURCIN.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/06/2015 au 30/06/2019 (FEDER).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0002079/NC (REGION).

Budget : 419 059 euros FEDER/380 308 euros REGION.

799 367 euros.

Description du projet :

Depuis la découverte par Pasteur de l’asymétrie moléculaire, l’étude de la chiralité 3D est devenue l’un des axes de recherche principaux sur les matériaux moléculaires, en particulier en raison de l’impact important du paramètre excès énantiomèrique (e.e.) sur de nombreuses propriétés (activités pharmaceutique et biologique en général, guide d’ondes, optique non linéaire, propriétés physiques des polymères bio-sourcés...). De plus, l’asymétrie moléculaire ouvre de nouvelles opportunités pour l’étude des systèmes dégénérés (l’excès énantiomèrique est une variable singulière qui offre, par exemple, des situations originales permettant de découpler des effets physiques). A noter que la connaissance et la maîtrise des mécanismes de vieillissement sont devenues des enjeux majeurs de nos sociétés tant du point de vue environnemental qu’économique. Le projet MACHI a donc pour objectifs : (1) la caractérisation fine du vieillissement des matériaux chiraux (moléculaires, macromoléculaires, bio-sourcés et biodégradables) et notamment l’étude de l’impact de la variable excès énantiomérique sur ce vieillissement, et (2) l’accès par voies physiques à des matériaux chiraux.

Personnels impliqués dans le projet :

  1. Saiter-Fourcin, B. Atawa (doctorant), E. Dargent, N. Varol (doctorante).

K. Fatyeyeva. G. Coquerel, N. Couvrat, S. Clevers (CDD), V. Dupray.

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (Laboratoires GPM/SMS/PBS).

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Projet MAGMA : Matériaux Magnétiques Nanostructurés pour applications à Faible Impact Environnemental.

Responsable scientifique pour le GPM : Jean JURASZEK.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2016 au 31/03/2020 (FEDER).

Du 01/10/2016 au 31/03/2020 (REGION).

Du 01/10/2016 au 30/09/2019 (CPER).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), la Région Normandie et le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation à travers le Contrat de Plan Etat-Régions (CPER).

Numéro de convention : HN0005573/NC (REGION)/172-2016-07.

Budget : 968 903,22 euros FEDER/454 191 euros REGION, 230 451,92 euros CPER.

1 653 546,14 euros.

Description du projet :

Le projet MAGMA concerne le développement de nouveaux matériaux magnétiques nanostructurés pour la réalisation d’aimants permanents et l’amélioration des nanomatériaux utilisés dans les composants actifs « spintronique » à faible consommation d’énergie.

La réalisation et l’amélioration de tels dispositifs nécessite d’avoir une meilleure compréhension des relations entre la nanostructure et les propriétés magnétiques des matériaux utilisés. Le projet combinera plusieurs approches expérimentales liées à la synthèse et à la caractérisation des propriétés physiques à l’échelle locale de ces nouveaux matériaux fonctionnels, ainsi qu’une approche de modélisation numérique des propriétés magnétiques.

Personnels impliqués dans le projet :

  1. Fnidiki, A. Saiter-Fourcin, D. Ledue, F. Richomme, H. Kanso (doctorant), J. Juraszek, J-M. Le Breton, K. Nakouri (doctorante), L. Diallo (doctorant), M. Brault, M. Jean, M-R. Garda, R. Lardé, S. Jouen, V. Nachbaur.

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Projet Matériaux en Seine : Matériaux en Seine

Responsable scientifique pour le GPM : Philippe PAREIGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/11/2015 au 30/03/2019 (FEDER).

Du 01/11/2015 au 30/03/2019 (REGION).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0004234/NC (REGION).

Budget : 616 200,30 euros FEDER/1 054 278,40 euros REGION.

1 670 478,70 euros.

Description du projet :

Dans le contexte du développement du mix-énergétique (optimiser le photovoltaïque, les diodes à émission lumineuse, la thermoélectricité, …) et de la fiabilité des composants, l’étude des matériaux à l’échelle atomique est aujourd’hui incontournable.

Il convient donc d’étudier les propriétés des matériaux mais aussi les mécanismes fins à l’origine des propriétés des matériaux plus massifs parfois vieillis en milieux agressifs (chercher les ségrégations dans un joint de grains, étudier le front de croissance d’une couche d’oxyde, identifier des nanoparticules ou une phase rare dans un matériau) …

Pour cela le GPM possède une plateforme unique. Toutefois, la mesure des propriétés de ces nanostructures nécessite aujourd’hui des « nanolaboratoires ». Ainsi, de manière complémentaire aux instruments existant un microscope électronique à balayage instrumenté pourra être couplé aux Sondes Atomiques et MET du laboratoire GPM pour l’étude des nanostructures. Le laboratoire pourra relier les observations structurales et chimiques aux mesures des propriétés physiques, approche qu’il ne peut pas se faire aujourd’hui.

Personnels impliqués dans le projet :

E. Cadel, E. Talbot, F. Cuvilly, L. Rigutti, O. Latry, R. Lardé.

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Projet MOUSTIC : Modèles aléatoires et OUtils STatistiques, Informatiques et Combinatoires

Responsable scientifique pour le GPM : Helena ZAPOLSKY.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2016 au 31/12/2019.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0005610/NC (REGION).

Budget : 314 558 euros FEDER/147 692 euros REGION.

462 250 euros.

Description du projet :

Les activités du projet se placent dans le contexte plus large de l'Informatique Mathématique.

Il s'agit d'un projet pluridisciplinaire qui rassemble 6 laboratoires sur 3 établissements.

Un des objectifs consiste à proposer des groupes de travail et manifestations de plus grande ampleur qui permettront d'initier des collaborations transverses et d'interagir avec des spécialistes internationaux de premier plan qui seront invités pour des séjours de moyenne ou longue durée.

En parallèle nous développerons des collaborations spécifiques sur les systèmes évolutifs et auto-organisés provenant de la physique, de la biologie ou de l'informatique. Ce travail pluridisciplinaire s'appuiera sur une thèse portant sur les automates cellulaires (un modèle évolutif s'appliquant en physique et en informatique) ainsi que deux stages post-doctoraux en physique statistique (modélisation de la matière à l'échelle atomique) et fiabilité et analyse de survie (s'appliquant en physique et en biologie).

Un second thème de travail spécifique consistera au développement et l'analyse d'algorithmes pour la cryptographie, la sécurité des systèmes ainsi que diverses structures discrètes. Il sera concrétisé notamment par des implémentations sur des modules électroniques.

Personnels impliqués dans le projet :

A. El Baalbaky (CDD), E. Joubert, Helena Zapolsky, O. Latry, P. Dherbécourt, P-E. Berche, R. Patte – GPM.

A. Chouria (doctorant), A. Lefebvre, A. Otmani, B. Patrou, C. Carre, C. Selmi, C. Miklarz (doctorant), D. Fourdrinier, D. Ziadi, E. Laugerotte, G. Guaiana, J-P. Dubernard, L. Mignot, M. Arfi, M. Bardet, M. De Boysson Flouret, N. Bedon, N. Florent, O. Mallet, O S. Nadia (doctorante), P. Andary, P. Caron, S. Canu, T. Lecroq, Z. Djeloul – LITIS.

A. Channarond, D. Volny, G. Chagny, E. H. El Abdalaoui, M. El Machkouri, E. Youndje, J-B. Bardet, J-Y. Brua, J-G Luque, M. Mustapha, N. Vergne, O. Arkoun, O. Benois, P. Calka, S. Beltaief (doctorant), S. Pergamenchtchikov, S. Taibi, T. De la Rue, V S. Barbu, V. Dragoi (doctorant) – LMRS

B. Gleyse, -- LMT

A. Groboillot, C. Poc, O. Lesouhaitier -- LMSM

A. Cabani, X. Savatier – IRSEEM

B. Macadré -- Service informatique URN

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoires LMRS-coordinateur J-B. Bardet/LITIS/GPM/LMSM), INSA Rouen Normandie (laboratoires LMI/LITIS), ESIGELEC (IRSEEM).

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Projet PACMAN : Paroi Anti-Clash avec MatériAux Nouveaux

Responsable scientifique pour le GPM : Eric DARGENT.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/07/2016 au 30/06/2020.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 17P05047/17P01592

Budget : 290 270,38 euros FEDER/193 293 euros REGION.

483 563,38 euros.

Description du projet :

Le projet PACMAN est labellisé par Normandie AeroEspace et comprend 4 partenaires (Zodiac Aerosafety Systems, Analyses et Surface, Agro-Hall et Université de Rouen). Le projet vise à améliorer les phénomènes de perméabilité et de résistance aux attaques fongiques et au vieillissement afin de prolonger la durée de vie des matériaux tout en réduisant leur masse.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Etienne, C. Castro, E. Dargent, E. Dontzoff, J A. Soto Puente (CDD), L. Chevalier, N. Delpouve, R. Islam -- GPM

C. Chapey, K. Fatyeyeva, S. Marais – PBS

Partenaires impliqués dans le projet :

Zodiac Aerosystems (coordinateur, S. Vernay), Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM/PBS), Agro-Hall et CRT Analyses & Surface.

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Projet POLARIS : POlycrystal ARtificla Intelligence.

Responsable scientifique pour le GPM : Gilles DEMANGE.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/09/2019 au 31/08/2021.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 19P02823/19E00877.

Budget : 65 000 euros FEDER/65 000 euros REGION.

130 000 euros.

Description du projet :

L’objectif central du projet est de développer une approche de type Machine Learning (ML) originale utilisée en synergie avec les approches numériques et expérimentales du GPM de Rouen pour la caractérisation des joints de grain (JG) dans les matériaux polycristallins.

L'étude des JG occupe depuis quelques temps une place centrale en science des matériaux. Malgré tout, la caractérisation des JG demeure à l'heure actuelle particulièrement difficile, en raison notamment de la grande variété de structures observées aux JG, ainsi que du grand nombre d'obstacles techniques à leur observation expérimentale et à leur modélisation numérique.

Plus qu'une méthode spécifique, le ML est un nouveau paradigme de l'intelligence artificielle, qui permet à un algorithme de développer des capacités prédictives par l'apprentissage sur un jeu de données aux propriétés connues.

Le développement de l'approche de ML dans le cadre de ce projet aura deux objectifs principaux. Le premier sera d’obtenir des potentiels d’interaction qualitatifs à destination de l'approche numérique des Quasi-Particules (QA) développée par l'équipe ERAFEN du GPM. Cela permettra notamment de simuler des JG quelconques dans des matériaux s'approchant des cas d'étude réels, notamment en présence de la ségrégation de multiples espèces chimiques de solutés. Le second objectif sera d'exploiter de manière optimale les résultats numériques et les observations expérimentales disponibles au GPM, pour extrapoler des propriétés originales des JG sous contrainte.

 Personnels impliqués dans le projet

  1. Goryaeva (CDD), G. Demange, H. Zapolsky, R. Patte.

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Projet RECYLION : Développement d’un procédé de RECYclage des batteries Lithium-ION.

Responsable scientifique pour le GPM : Virginie NACHBAUR.

Bénéficiaire : CNRS.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2019 au 31/12/2021.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 19E009876/19P03213.

Budget : 112 750 euros FEDER/112 750 euros REGION.

225 500 euros.

Description du projet :

L’exploitation des « mines urbaines », que constituent les déchets des équipements électriques et électroniques (DEEE), est devenu un enjeu de taille, motivé à la fois par la consommation conséquente de ces équipements, par la préservation de l’environnement, ainsi que par les enjeux économiques qui en découlent. Le recyclage de ces déchets, et plus particulièrement des batteries au lithium, nécessite la mise au point de procédés scientifiques innovants permettant de valoriser l’intégralité des éléments chimiques qu’elles contiennent.

C’est dans ce contexte que le Groupe de Physique des Matériaux a mis au point un procédé écologiquement et économiquement performant permettant le recyclage d’aimants Néodyme-Fer-Bore. Ce procédé, qui permet de séparer les terres rares du fer au sein des aimants, a fait l’objet d’un dépôt de brevet soutenu par le CNRS. La suite de l’étude, menée sur les matériaux contenus dans les batteries au lithium, donne des résultats très prometteurs pour la séparation et l’isolement des éléments chimiques tels que le lithium, le nickel, le manganèse, le fer et le cobalt. Ce procédé fait l’objet d’un deuxième brevet, soutenu par Normandie Valorisation.

Le projet RECYLION vise à prouver la faisabilité d’un procédé durable de séparation des éléments valorisables des batteries lithium-ion (le lithium, le cobalt, le nickel, le manganèse, le graphite…) en évitant autant que possible le démontage manuel des batteries. Pour ce faire, le procédé de séparation des éléments chimiques de la batterie sera précédé d’un broyage cryogénique (sous azote liquide, appelé aussi « cryomilling »). Le but d’un broyage sous azote liquide est d’ouvrir les batteries sans risque en diminuant la réactivité du lithium. L’atmosphère cryogénique présente également l’avantage de fragiliser les parties plastiques des batteries, rendant leur rupture plus aisée.

Les différentes parties de la batterie seront d’abord broyées puis traités une par une, pour aller progressivement vers un procédé impliquant la batterie dans son ensemble si cela est possible.

 

Personnels impliqués dans le projet :

  1. Foulon, F. Ayadi (CDD), S. Jouen V. Nachbaur.   

 

Partenaires impliqués dans le projet :

CNRS (laboratoires GPM/CRISMAT).

 

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Projet SAT MET :  Implémentation d’une SAT sur un MET pour plateforme GENESIS.

Responsable scientifique pour le GPM : Williams LEFEBVRE

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : du 01/09/2021 au 31/12/2022.

Financeur(s) : l’Union européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER via la Région Normandie).

Numéro de convention : 21E03581.

Budget : 1 550 000 euros FEDER.

1 550 000 euros.

Description du projet :

Le projet SAT MET consiste à assembler en un seul instrument une sonde atomique (SAT) et un microscope électronique en transmission (MET) afin d’aboutir à la création d’un nouvel instrument (e-SAT).

Personnels impliqués dans le projet :

A. Normand, C. Castro, F. Vurpillot, G. Da Costa, W. Lefebvre.

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Projet SCAMPI : Solutions pour la Conception et l’Analyse de Matériaux à Propriétés Innovantes

Responsable scientifique pour le GPM : Eric DARGENT.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/06/2016 au 30/06/2020 (FEDER).

Du 01/10/2016 au 30/09/2019 (REGION).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0005574/NC (REGION).

Budget : 698 455 euros FEDER/459 751 euros REGION.

1 158 206 euros.

Description du projet :

Ce projet réunit trois laboratoires de l’Université de Rouen Normandie : le PBS, le SMS et le GPM.

Afin de satisfaire aux exigences actuelles en termes de fiabilité, de performances, de sécurité et de développement durable, les recherches dans le domaine des matériaux se concentrent aujourd’hui autour de quatre axes majeurs :

  • l’accès à de nouvelles sources de matériaux
  • les nouvelles techniques d’élaboration de matériaux
  • l’évaluation de leurs performances et de leur potentiel applicatif
  • la conception et le développement de méthodes d’analyse de pointe

Le projet SCAMPI vise à préparer les matériaux du futur en anticipant les besoins en termes de maîtrise des différentes étapes de la vie du matériau dans les secteurs allant des matériaux moléculaires aux matériaux macromoléculaires. En effet, les enjeux autour de ces thématiques sont nombreux dans les domaines clés du développement économique régional (industries pharmaceutiques, polymères biosourcés et biodégradables pour le packaging) et dans le cadre de rupture technologique (fabrication additive). Le projet SCAMPI, en s’appuyant sur les compétences reconnues et la complémentarité des différents laboratoires impliqués, aura pour objectifs : (1) l’étude et le développement de procédés originaux d’élaboration de matériaux de nouvelle génération et (2) la caractérisation fine des propriétés physicochimiques de matériaux innovants par le développement d’outils d’analyse de pointe.
Les procédés étudiés permettront l’accès à des phases cristallines à propriétés spécifiques dans le cas des matériaux moléculaires et à de nouveaux biopolymères (polymères de remplacement) et de nouveaux composants bi-polymères (fabrication additive) dans le cas des matériaux macromoléculaires.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Bourdet (doctorante), A. Esposito, E. Dargent, F. Barbe, H. Ramezani-Dana (CDD), L. Delbreilh, M. Ben-Azzouna, M-R. Garda – GPM

K. Fatyeyeva, L. Colasse -- PBS

C. Brandel, G. Coquerel, G G. Gbabode, M. Sanselme, N. Couvrat, V. Dupray, Y. Cartigny -- SMS

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM/PBS/SMS-coordinateur V. Dupray). 

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Projet SMARTMODEL :  Solution de Modélisation de Composants RF utilisés pour Applications de Communications sans fil à Très Haut Débit

Responsable scientifique pour le GPM : Olivier LATRY.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 03/09/2018 au 03/09/2021 (FEDER).

Du 03/09/2018 au 03/09/2021 (REGION).

Du 31/05/2018 au 30/09/2023 (FUI).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), la Région Normandie et la Banque Publique d’Investissement (Bpifrance) à travers le Fonds unique interministériel (FUI).

Numéro de convention : 18P02862/OS0097952/00

Budget : 67 068,80 euros FEDER/16 767,20 euros REGION/ 83 836 euros FUI.

167 672 euros.

Description du projet :

Ce projet a pour objectif de développer une nouvelle solution de mesure et de modélisation de transistors en technologie GaN (Nitrure de Gallium).

Ces mesures et modèles de composants sont cruciaux pour la compréhension des phénomènes présents dans les amplificateurs de puissance RF utilisant la technologie GaN. Cette meilleure prise en compte des effets thermiques et de pièges dans les modèles doit permettre d’améliorer les conceptions des circuits dès la première itération et ainsi réduire les temps de cycle de développement.

 

Ces circuits visent des applications à caractère dual. En effet, ils sont utilisés intensivement dans les systèmes de communications pour des applications civiles, et des applications de défense notamment dans le domaine radar.

Personnels impliqués dans le projet :

M. Masmoudi, N. Moultif, O. Latry, T. Neveu (CDD).

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Projet SUPERMEN : De la SUrface au volume : Propriétés Et Relations avec la Micro Et la Nanostructure des alliages métalliques.

Responsable scientifique pour le GPM : Frederic DANOIX/ Philippe PAREIGE.

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : 

Du 01/10/2015 au 31/03/2019 (FEDER).

Du 01/09/2015 au 30/09/2018 (REGION).

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : HN0002068/NC (REGION).

Budget : 645 317,49 euros FEDER/426 000 euros REGION.

1 071 317,49 euros.

Description du projet :

Le projet SUPERMEN vise à étudier l’oxydation et/ou la corrosion des matériaux métalliques, afin de caractériser les surfaces. La notion de surface est assez mal définie en science des matériaux, sa caractérisation peut donc prendre des formes très différentes selon les phénomènes mis en jeu.

En parallèle de la caractérisation microstructurale et chimique des surfaces (aux différentes échelles), le projet ambitionne aussi de pouvoir étudier les propriétés mécaniques des surfaces, aspects essentiels lorsqu’il s’agit par exemple de pièce de frottement ou de contact. Mieux comprendre les relations existantes entre la nanostructure et le comportement mécanique des matériaux métalliques est un enjeu majeur et une originalité même au niveau européen.

Personnels impliqués dans le projet :

A. Barbier, A. Dahlström (doctorant), A. Guillet, A. Normand, B. Deconihout, B. Flipon (doctorant), B. Radiguet, C. Keller, C. Vaudlon, F. Barbe, F. Cuvilly, F. Danoix, F. Delaroche, F. Vurpillot, G. Da Costa, G. Zaher (doctorante), H. Zapolsky, I. Blum, J. Houard, J. Gupta (CDD), J. Kasperek, L. Taleb, M. Brault, P. Pareige, R. Danoix, S. Jouen, X. Sauvage.

Partenaires impliqués dans le projet :

Université de Rouen Normandie (laboratoire GPM), CRT Analyse et Surface, Université du Havre (LOMC).

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Projet THESIS : THermoplastic Erosion Shield for new generation Ice protection System.

Responsable scientifique pour le GPM : Antonella ESPOSITO (URN)/Benoit VIEILLE (INSA).

Bénéficiaire : Université de Rouen Normandie/INSA Rouen Normandie.

Dates de début et fin de projet : Du 01/09/2017 au 31/08/2020.

Financeur(s) : l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et la Région Normandie.

Numéro de convention : 17P04830 (URN)/17P04835 (INSA).

Budget : 180 483,20 euros FEDER/270 724,80 euros REGION.

451 208 euros (URN).

44 000 euros FEDER/66 000 euros REGION.

110 000 euros (INSA).

Description du projet :

L'industrie aérospatiale est en recherche perpétuelle de solutions qui permettent d'améliorer les performances des aéronefs tout en réduisant la consommation de carburant. Le projet THESIS a pour objectif d'étudier et porter à maturation une technologie appelée "pneumo-expulse" qui optimise la consommation d'énergie associée au dégivrage des bords d'attaque des ailes d'avion. Ce projet s'appuie sur un consortium qui réunit plusieurs partenaires industriels (Zodiac Aerosafety Systems, Dedienne Multiplasturgy, Analyses et Surfaces) et institutions académiques (le laboratoire GPM de l'Université de Rouen Normandie et de l'INSA Rouen, les laboratoires CORIA et LITIS de l'Université de Rouen Normandie, l'IRSEEM de l'ESIGELEC). Plusieurs compétences ont été réunies afin de qualifier un modèle représentatif du bord d'attaque d'une aile d'avion sur lequel est installé le nouveau système de dégivrage, ce qui nécessite la définition d'une méthodologie complète pour caractériser le comportement des matériaux le constituant, ainsi que de leur assemblage.

Personnels impliqués dans le projet :

  1. Esposito, M-R. Garda, S. Araujo (CDD) – GPM URN.
  1. Bourdet, B. Vieille, T L. Beraldo (stagiaire), Y. Rahali (CDD) – GPM INSA.

G. Godard, M. Brunel – CORIA URN.

L. Heutte – LITIS URN.

Partenaires impliqués dans le projet :

Zodiac Aerosafety Systems (aujourd’hui SAFRAN, coordinateur Sébastien Vernay), Université de Rouen Normandie (laboratoires GPM, CORIA et LITIS), INSA Rouen Normandie (laboratoire GPM).